L’inauguration officielle de la résidence étudiante « Richaud » de Versailles s’est déroulée lundi 18 novembre. Elle accueille depuis la rentrée de septembre 84 étudiants.
La résidence étudiante « Richaud » de Versailles a été inaugurée lundi 18 novembre en présence de François de Mazières, maire de Versailles et d’Alain Schmitz, Président du Conseil général. D’une capacité de 82 logements meublés de 18 à 30 m², la résidence accueille depuis septembre 2013, 84 étudiants, stagiaires et apprentis.
Chaque logement est équipé d’un lit, d’une kitchenette et d’une salle de bain. Située en cœur de ville, elle est très bien desservie par les réseaux de bus Phébus et par les RER des stations Versailles Rive Droite et Rive Gauche.
Xavier, étudiant erasmus espagnol, à l’école d’architecture de Versailles :
A l’origine, j’avais réservé une chambre à Saint Cloud mais en voyant que ce studio me rapprochait de l’école, j’ai finalement opté pour cette solution. Pour seulement 450 € par mois, j’ai un studio de 30 m² avec cuisine équipé, salle de bain et lit. Tout est neuf et propre et l’ambiance est bonne. »
John, 22 ans, étudiant à l’école d’architecture de Versailles :
Grâce à l’Aide personnalisée au logement (APL) je ne paie que 176 € par mois pour 19m². Ce studio tout équipé me revient environ 80 € moins cher qu’un logement privatif pour la même superficie. Je n’ai que des avantages ! L’accès à l’internet est facilité grâce à la fibre optique et l’isolation thermique est parfaitement réussie. Je ne chauffe pas encore ma chambre et pourtant la température ambiante est toujours agréable, même après l’aération matinale de la pièce. De plus le studio est très bien situé et bien desservi. »
11 logements sociaux à Jouy-en-Josas
Au début de la rue Jean-Beauvinon à Jouy-en-Josas, un immeuble tout neuf de 11 logements sociaux (du studio au F3) aux murs parés de meulière borde la route. Edifié sur deux niveaux, doté de sept parkings privés et d’une agréable vue sur le parc du Domaine du Montcel, l’immeuble a été inauguré lundi 18 novembre par le maire, Jacques Bellier, et le Président du Conseil général, Alain Schmitz. Soutenu par le Conseil général dans le cadre d’un CDOR, le projet a mis deux ans à sortir de terre.