À seulement 23 ans, Boris Palu brille sur les terrains de rugby aux côtés du Racing 92. Rencontre avec un joueur accessible, pour qui tout a débuté dans les Yvelines.

Boris Palu : d’espoirs en victoires au Racing 92 © Racing 92

Chez Boris Palu, le ballon ovale est une affaire de famille. En effet, le jeune toulousain de naissance a tout de suite baigné dans le monde du rugby puisque son père pratiquait ce sport. Après quelques années passées en Afrique, le jeune Boris revient en France : les Yvelines l’accueillent à bras ouverts. Le jeune garçon commence à jouer dans le club de Saint-Germain-en-Laye alors qu’il n’est âgé que de 4 ans et demi.

Boris Palu : d’espoirs en victoires au Racing 92 © Racing 92

Depuis ? Boris Palu n’a jamais cessé de grimper les échelons. Il n’a que 15 ans lorsqu’il intègre le pôle espoir à Saint-Germain-en-Laye : au-delà de sa carrière, cela reste une période importante de sa vie puisqu’il nous confie :

J’en garde de très bons souvenirs, je prends toujours plaisir à retrouver ma bande de copains.

Boris Palu évolue aujourd’hui aux côtés des plus grands rugbymen. C’est sur les terrains qu’on le retrouve, vêtu de son maillot bleu ciel et blanc, défendant fièrement les couleurs du Racing 92, avec lequel il joue sa première rencontre professionnelle en 2016.

Si le jeune homme n’a jamais rêvé d’être rugbyman, il se sent aujourd’hui chez lui au Racing 92 et c’est le rugby qui semble l’avoir trouvé, puisqu’il vient de terminer une belle saison d’une trentaine de matchs. Ces dernières années, le rugby, notamment les joueurs, sont sur le devant de la scène et bénéficient d’une mise en avant qui n’est pas négligeable selon Boris Palu :

C’est bénéfique pour notre sport et cela apporte un rayonnement international.

Le joueur, troisième ligne du Racing 92, souhaite que, malgré la starification, le rugby conserve les belles valeurs qui font sa réputation.

Nous retrouverons Boris Palu dès le 24 août 2019 dans son club de cœur au sein duquel il souhaite continuer à jouer et gagner un titre. La suite ? « On verra après » répond le principal intéressé : le rendez-vous est pris.