L’UVSQ (université Versailles Saint-Quentin) a inauguré son premier terrain de sport réhabilité le 22 septembre à Versailles. Le premier des trois nouveaux équipements.
Le sport entre dans le quotidien de chacun. Comme le dit le fameux adage latin, « un esprit saint dans un corps sain ». Cependant, les étudiants ont de nombreux freins qui les limitent dans la pratique d’une activité physique. Notamment des problèmes d’emploi du temps, de travail étudiant, d’horaire, de manque d’accessibilité aux équipements, de prix.
« L’université, ce n’est pas seulement l’apprentissage et la recherche, mais aussi un lieu de vie. Et dans ce lieu de vie, il est normal de tout faire pour favoriser la réussite. Le sport en fait parti », déclare Alain Bui, président de l’UVSQ.
Pour répondre à ce dernier problème, l’université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), vient de remettre à neuf son stade de Versailles. Viendront ensuite deux autres terrains sur les sites de Rambouillet et de Vélizy-Villacoublay.
Un terrain pensé pour la pratique à l’UVSQ
Les travaux, démarrés fin 2021, ont permis de remettre à neuf le terrain vieillissant. Il a pour cela fallu plusieurs phases : terrassement, drainage et assainissement du sol, pause d’un nouveau revêtement en gazon synthétique. Afin de multiplier les pratiques, une piste de course a été ajoutée en périphérie du stade avec une aire de réception en sable. Le stade de 60×40 mètres se concentrera sur la pratique du football, de l’ultimate, du tir à l’arc et de l’athlétisme.
Un investissement soutenu par le Département des Yvelines
D’un montant total de 550 000€ les travaux ont été financés par l’UVSQ, le Département des Yvelines et le CROUS de Versailles. Ils ont notamment bénéficié de la mobilisation des crédits CVEC. Deux autres terrains multisports seront prochainement inaugurés sur les Campus de Rambouillet (4 octobre) et de Vélizy-Villacoublay (18 octobre).
Il est nécessaire d’investir dans les équipements sportifs. Si on veut encourager la pratique du sport, il faut investir. On entend souvent que la France est en retard dans ce domaine. Mais Paris 2024 et l’engagement des collectivités territoriales vont combler ce manque », a conclu Olivier de la Faire, conseiller départemental responsable des sports.